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Après la pandémie: la téléjustice

Dans notre premier épisode, Pascale Pageau, la présidente fondatrice de Delegatus et la présidente de l'ABC-QC, et Alexandre Désy, co-fondateur de la legaltech OnRègle, nous parlent des répercussions de la pandémie sur le secteur juridique et du virage vers la résolution des différends en ligne.

Téléjustice

Les restrictions liées à la COVID-19 ont poussé le secteur juridique à se moderniser à un rythme qu’on n'aurait jamais envisagé il y a quelques mois à peine. Les milieux de travail ont dû s’adapter. L’emploi de la technologie dans la prestation des services juridiques est devenu essentiel. Et on remarque un regain d’intérêt pour les services alternatifs qui peuvent aider les gens à résoudre leurs problèmes juridiques.

Dans cette période de changements, et durant cette transition vers l'après-pandémie que nous vivons actuellement, la question est de savoir si le monde juridique sera réellement en mesure de se réinventer de manière plus permanente.

Au cours des prochaines semaines, c'est la question que nous poserons aux invités de notre série ballado Après la pandémie : Entretiens sur l’avenir de la justice, produit avec la collaboration d’Avenirs en droit de l’ABC.

Dans notre premier épisode, j’ai reçois Pascale Pageau, la présidente fondatrice de Delegatus et la présidente de la division ABC-Québec, et Alexandre Désy, avocat et co-fondateur de la legaltech OnRègle.

Les invités nous parlent des répercussions de la pandémie sur le secteur juridique, du rôle de la technologie dans la justice, et du virage vers la résolution des différends en ligne. Ils en profitent aussi pour faire l’annonce d’un nouveau partenariat entre l’ABC-Québec et OnRègle afin de rendre la téléjustice accessible à un plus grand nombre de Québécois. Grâce à cette entente, les gens auront accès aux services en ligne des juristes membres de l’ABC-Québec qui adhéreront au programme.

Le partenariat vise deux objectifs. Le premier est de permettre aux citoyens d’obtenir des services juridiques à un tarif raisonnable. Le deuxième est de donner accès à des outils technologiques, dont le développement aurait été onéreux, aux avocats et notaires.

Pour en connaître davantage, écoutez l’épisode.